La confidentialité des tarifs n’est malheureusement pas le seul élément intériorisé par certains bibliothécaires (pour mémoire, je laisse Elsevier préciser la raison pour laquelle ils souhaitent que les conditions tarifaires restent confidentielles http://svpow.com/2013/12/20/elseviers-david-tempest-explains-subscription-contract-confidentiality-clauses/).
Combien d’entre eux parle de leur « chiffre d’affaire » auprès de tel ou tel éditeur ?
Pire, combien de responsables haut placés ressortent l’argumentaire classique des éditeurs scientifiques (l’absence de garantie scientifique pour les articles déposés en archive ouverte ou la notion de monopsone, notamment) ?
Si ça restait à prouver, on voit clairement qui est le dominant dans les rapports éditeurs-bibliothécaires (au sens large)
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Par : Bbober
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